19 décembre 2013

Gabin le "jouait" déjà en 1961...

Truc financier... parce que la politique, quelle qu'elle soit (gauche, droite, centre) c'est d'abord et avant tout des "trucs financiers".

L'Europe, qui aurait pu être une extraordinaire aventure humaine, n'a été conçue que pour et par la finance internationale. Pour avoir travaillé chez ces "grandes" banques, je puis vous assurer que l'humain, n'est qu'un bout de viande qui doit consommer et obéir à leur diktat... Tous les politiques sont, de gré ou de force, soumis aux dictats financiers.... La pyramide mise en avant par les conspirationnistes n'est pas imaginaire et bien réelle.

Mais lorsque l'on voit cet extraordinaire être humain qu'est le chef Raoni (cliquez sur l'affiche "STOP Bello Monte" et allez signer la pétition si votre coeur vous le dit), qui combat avec son peuple et depuis plus d'une décennie les géants de la finance contre un projet aussi absurde, qu'inutile et humainement infâme... 

Je ne sais pas pour vous, mais la politique devrait plutôt se retrouver parmi les paroles du Chef Raoni : "Nous respirons tous un seul air, nous buvons tous une seule eau, nous vivons tous sur une seule Terre. Nous devons tous la protéger."... Nous sommes tous, au quotidien, à des années lumières d'une telle lucidité... Enfermés que nous sommes par les délires des administrations, politiciens ou financiers qui nous contraignent à courir après l'argent et le temps... En nous assommant de démarches et obligations débiles et aliénantes... mais arrêtez-vous un instant et demandez-vous... pourquoi...

Par exemple :

Et réfléchissez bien avant de condamner l'immigré, le chômeur ou le croyant (catholique, juif, musulman) pointé par les politiciens et les médias de masse dont l'objectif est de diviser (pour mieux régner)... Vous serez peut-être demain à votre tour un immigré dans votre propre pays ou un chômeur avec tout ce que cela signifie.

Faites également quelques recherches sur l'énorme différence qu'il y a entre le judaïsme et le sionisme... c'est en gros la même chose que comparer un musulman avec un extrémiste (formé et armé par les gouvernements occidentaux pour aller semer la peur et/ou le désordre là où ils ont besoin de prendre le pouvoir et il y a des preuves accessibles sur Internet si on veut s'en donner la peine). Saviez-vous que l'ancien président Iranien soit-disant un sanguinaire voulant mettre à mort tous les juifs a, dans les faits, plus de 80 synagogues dans son pays ? où les juifs ou chrétiens y vivent loin de ce que vos petits écrans vous martèlent...

Cette petite vidéo, visant uniquement l'Europe, est extraite de l'article "Coluche, Balavoine, et les autres: rien n’a changé en plus de 30 ans" du site lesmoutonsenrages.fr. Mais vous pouvez également aller ensuite visionner la vidéo (sous-titré en français) de Vladimir Boukovski qui compare l'Europe à l'ancienne URSS et de manière très sensée.


Petite leçon d'Europe par Jean Gabin dans "Le président"



Un monumental Jean Gabin dans le film "Le président" qui expose à l'assemblée nationale sa vision de l'Europe , des conflit d'intérêts , des connivences , les banques et le pétrole tout y passe.

Biographie du film :


Le Président est un film français réalisé par Henri Verneuil, sorti en 1961. Dialogue : Michel Audiard , avec notamment Jean Gabin , Bernard Blier.

Synopsis :


Ancien président du Conseil, Émile Beaufort consacre l'essentiel de son temps à écrire ses mémoires qu'il dicte à sa secrétaire, Mlle Millerand.

À l'occasion d'une grave crise politique ministérielle, les journaux annoncent la probable nomination par le président de la République de Philippe Chalamont, président du Groupe des Indépendants Républicains à la Chambre des députés.

Or, une quinzaine d'années auparavant, cet homme politique, intelligent, fin et galant et, à l'époque, directeur du cabinet à la présidence du Conseil fut à l'origine d'un scandale financier qui a coûté près de 3 milliards de francs anciens à la France. Blessé de cette trahison, le président Beaufort le limogea de son poste et garda les aveux écrits de Chalamont.

Mais, coup de théâtre, Chalamont revient avec l'ambition de devenir le chef du gouvernement. Brandissant la menace de donner la lettre à la presse, Beaufort contraint Chalamont à réfléchir aux conséquences s'il acceptait la proposition du chef de l'Etat...


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